novembre 23, 2017 - Testé Pour Vous

Comment bien choisir son smartphone ?

Avec la grande diversité des marques et des modèles existants, choisir son smartphone est devenu délicat. Quelles sont les différentes types de smartphones existants ? Et sur quels critères effectuer votre choix ? Voici un guide complet pour vous aider à faire le bon choix.

Les types de smartphones

Les smartphones peuvent se classer en quatre catégories, en fonction de leurs systèmes d’exploitation. Ainsi, nous distinguons les téléphones Android, les Windows phones, les BlackBerry et enfin les iPhone.

<ul>
<li>Le smartphone Android</li>
</ul>

Fonctionnant sous le système d’exploitation OS de Google, ces téléphones sont sans doute les plus produits sur le marché international. S’il est vrai que chaque marque dispose d’une liberté de création du style de son appareil, il n’en demeure pas moins, qu’elle se doit de respecter une clause d’installation et de mise à jour de la version Android, afin que l’utilisateur final puisse jouir effectivement des avantages liés à son téléphone. En effet, plus la version s’actualise, plus la performance du téléphone s’améliore. L’avantage des smartphones réside dans la facilité d’utilisation qu’elle offre aux utilisateurs. Pour ceux qui est des grandes marques existantes, nous pouvons évoquer le géant coréen de la téléphonie (Samsung), HTC, LG et bien d’autres encore.

<ul>
<li>Les Windows phones</li>
</ul>

C’est un label produit par la firme Microsoft. Bien qu’ils ne couvrent que 2 % du marché des Smartphones, ces téléphones offrent un avantage considérable pour les utilisateurs du monde professionnels. En effet, son système d’exploitation est conçu de telle sorte à offrir aux utilisateurs, une large gamme d’applications se retrouvant sur les ordinateurs. Vous pouvez donc, grâce à votre Windows Phone, travailler directement comme si vous étiez en face de votre ordinateur. Avec la constante évolution du système, les téléphones deviennent de plus en plus faciles d’utilisation.

<ul>
<li>Les BlackBerry</li>
</ul>

Ils constituent la première génération des téléphones intelligents, et bien que pris de coup par leurs concurrents directs, ils proposent des fonctions spécifiques. Nous pouvons évoquer entre autres : l’aspect communautaire. La base de stockage des applications BlackBerry (AppWorld) compte à ce jour près de dix mille applications.

<ul>
<li>Les iPhone</li>
</ul>

Il s’agit ici de la gamme de smartphones produite par Apple. Disposant du système iOS, les applications de ces téléphones sont directement téléchargeables sur l’App Store. C’est une marque caractéristique des couches plus ou moins aisées en raison de leur cout très élevé.

Choisir en fonction de l’usage final

L’usage que vous comptez faire de votre téléphone est un aspect important qui devra vous guider dans le choix de ce dernier. Si vous optez pour une bonne résolution d’image, une plus grande autonomie de batterie, ou une meilleure qualité de connectivite à internet, le choix ne sera pas forcément le même. Voici quelques détails utiles à connaitre.

L’autonomie de la batterie : il est connu de tous que les smartphones ont une très faible autonomie de batterie, en raison de leur capacité, mais aussi à cause de leurs différentes composantes électroniques. Prenez donc la peine de vous pencher sur la puissance et l’autonomie du téléphone à l’heure de la sélection. Il vous faudra aussi apprendre à avoir le réflexe de charger régulièrement votre appareil.

La qualité de l’appareil photo : si vous êtes de ceux-là qui aiment immortaliser les évènements marquants de leur existence, c’est sans doute un détail sur lequel vous devriez vous pencher. Et quand on évoque la qualité de la photo, on pense irrémédiablement aux marques, Sony, Samsung ou encore iPhone qui offrent une résolution proche de celle des appareils photo. Vous avez également la possibilité de retrouver sur le store de votre système d’exploitation une application pour le traitement d’image.

Le type de clavier : à l’exception des BlackBerry qui disposent de claviers physiques, tous les autres smartphones proposent de claviers tactiles. L’avantage de ce genre de clavier réside dans la facilité de manipulation des appareils. Si par contre vous êtes fans des conversations par le biais des mails choisir un BlackBerry sera plus opportun.

La taille du processeur : c’est du processeur que dépendent en principe la puissance du téléphone et sa capacité à gérer plusieurs taches de façon simultanée. Plus la taille du processeur sera grande, plus performant sera donc le téléphone.

Les fonctions multimédias : en principe, le smartphone devrait être en mesure de lire tout type de fichiers. Il y a cependant des modèles qui vous exigent de procédé à une conversion préalable du type de fichier. Vous pouvez accéder à ces applications grâce à votre store.

La synchronisation des comptes : plus besoin d’avoir plusieurs comptes mails désormais. Avec les smartphones, vous avez la possibilité de relier tous vos comptes en une seule et unique application. Précisons que cette fonction ne prend pas forcement en compte les contacts.

La RAM : c’est grâce à elle que vous êtes en mesure de stocker les applications et autres types de fichiers. Plus la taille de la mémoire RAM sera grande, plus grande sera donc votre capacité de stockage.

Comment bien choisir son casque de scooter ?

Porter un casque fait partie des règles de sécurité les plus importantes quand on roule sur un deux roues. Cet équipement doit être d’excellente qualité pour une sécurité optimale.

A travers cette page, nous allons vous expliquer comment choisir le meilleur casque de scooter.

Quels sont les différents types de casques ?

Plusieurs types de casque existent : le casque intégral, le casque jet, et le casque modulable.

<ul>
<li>Le casque intégral de scooter</li>
</ul>

Ce type de casque propose un excellent niveau de sécurité. Il couvre tout le visage et assure la protection de la mâchoire. Il protège ainsi du vent, de la poussière et de tous les bruits parasites. Ce casque est parfait pour parcourir de longues distances. Cependant, le casque intégral peut être pénible à porter en période de forte chaleur.

<ul>
<li>Le casque jet</li>
</ul>

On l’appelle également le casque semi-intégral. Avec ce casque, on a un large champ de vision et il est plus aéré. Il est donc parfait pour une utilisation urbaine. Il existe même des casques jet très compacts qui peuvent être rangés dans le coffre d’un scooter. Toutefois, le niveau de protection de ce casque est moins important. Il ne protège pas le visage en cas d’accident, notamment en cas de choc frontal.

<ul>
<li>Le casque modulable</li>
</ul>

Le casque modulable est un véritable casque hybride. Il est une combinaison du casque intégral et du casque jet. Avec ce casque, vous avez donc un excellent champ de vision quand il est en mode semi-intégral et une protection optimale lorsqu’il est en mode intégral. Cependant, le casque modulable est souvent plus lourd que les autres types de casques. De plus, il faudra se méfier des casques modulables qui n’offrent pas la possibilité de relever entièrement la mentonnière.

Comment bien choisir son casque de scooter ?

Choisir un casque intégral, jet ou modulable est une simple question de goût. Viennent ensuite les véritables critères de choix :

<ul>
<li>La taille</li>
</ul>

La morphologie de la tête diffère d’un individu à un autre, ce qui rend plus difficile le choix du casque de scooter. Pour trouver un casque à votre taille, n’hésitez pas à mesurer votre tour de tête. Ainsi, les casques de taille XXS sont idéals pour les tours de tête de 51-52 cm. Quant aux casques de taille XS, S, M, L, XL, XXL, ils correspondent respectivement aux tours de tête 53-54 cm, 55-56 cm, 57-58 cm, 59-60 cm, 61-62 cm et 63-64 cm. 
Un casque à la bonne taille ne vous serrera pas trop et vous permettra de tourner la tête.

<ul>
<li>La résistance du casque</li>
</ul>

Un casque bien résistant procurera une meilleure protection. Vous pourrez opter pour un casque fabriqué en fibre de carbone. Certains fabricants utilisent le thermoplastique pour obtenir un dispositif de protection optimal.

<ul>
<li>Le poids</li>
</ul>

Le poids des casques de scooter varie en fonction des matériaux utilisés sur chaque modèle. Il peut donc osciller entre 1200 et 1550 grammes. Mais les casques modulables dépassent souvent la moyenne (1,8kg) . Optez pour le casque le plus léger possible.

<ul>
<li>La ventilation</li>
</ul>

Une bonne ventilation vous permettra de ne pas avoir de buée dans le casque et d'éviter la surchauffe pendant l'été. Attention à ne pas avoir un casque trop ventilé pour limiter les bruits parasites !

<ul>
<li>L’étanchéité du casque</li>
</ul>

Un casque bien étanche est pratique pour la conduite dans un environnement humide. Ce critère est donc important si vous ne voulez pas que de l’eau s’infiltre dans votre équipement de protection.

<ul>
<li>La facilité d’entretien et le confort</li>
</ul>

Assurez-vous que le casque soit bien rempli de mousse. De plus, pensez à acheter un casque doté d’un revêtement anti-rayures.

Pour l’achat d’un casque intégral, prévoyez au moins 85 euros. Les modèles les plus efficaces valent en moyenne 200 euros, certains peuvent coûter 500 euros. Le prix d’un casque jet peut varier de 75 à 500 euros. Si vous avez besoin d’un casque modulable, il faudra prévoir 150 ou 200 euros en moyenne ; pour un modèle haut de gamme il vous faut entre 300 et 500 euros. Le prix d’un casque cross de bas de gamme peut atteindre les 120 euros ; les modèles haut de gamme sont vendus entre 400 et 500 euros.

Les pièges à éviter lors de l’achat de votre casque de scooter

Assurez-vous que la jugulaire ne s’ouvre pas une fois qu’elle est fermée.

De plus, vous devez veiller à ce que votre casque soit homologué. Dans la garniture d’un casque homologué, vous observerez une étiquette verte NF ou une étiquette blanche CE 22/4 ou C 22/5. En France, seuls les casques portant les normes NF, E4 et E5 sont autorisés à être vendus.

Faites également attention à la visière du casque. Porter un casque avec une visière sombre ou iridium qui n’est pas vendu avec le casque est très dangereux. D’un côté, vous aurez du mal à voir, surtout si vous roulez de nuit. De l’autre côté, en cas d’accident, vous êtes considéré comme non assuré. De plus, si vous vous faites contrôler, vous pourrez écoper d’une contravention et d’un retrait de trois points sur votre permis de conduire.

Les nouveautés dans le secteur des casques de scooter

L’univers des casques de scooter est en constante évolution. Parmi les récentes innovations, on retrouve l'écran solaire interne. Il s'adapte à la luminosité de votre environnement et vous évite d'être ébloui par le coucher ou le lever du soleil.

Comment bien choisir son vélo électrique ?

Apparus durant les années 1930, les vélos électriques ont littéralement révolutionné le monde des transports. Si vous aimez pédaler, mais de façon raisonnable, optez pour un vélo à assistante électrique.

A travers cette page, nous allons vous expliquer comment choisir votre vélo électrique.

Quels sont les vélos électriques existants ?

De nombreux modèles de vélos électriques existent. On peut les classer dans plusieurs catégories : les vélo électriques pour le transport périurbain, les vélos cargos, les VTT électriques, et les vélos électriques pliants.

<ul>
<li>Les vélos à assistance électrique pour les transports périurbains</li>
</ul>

Ce type de vélo électrique est doté d’une très grande autonomie. Vous pourrez généralement parcourir 30km avec une seule charge. Pour des distances supérieures à cinq kilomètres, il est en mesure de conserver sa vitesse de pointe et est facile à conduire.

<ul>
<li>Les vélos électriques "sportifs"</li>
</ul>

Ils possèdent une grande autonomie (50km) et sont assez puissants pour éviter les obstacles. Par ailleurs, le vélo électrique pour le sports dispose de tout un arsenal d’équipements qui vous permettront de profiter au mieux de votre promenade (capteur de couple, système de freinage, porte-bidon, sacoche de transport, suspensions à l'avant, etc).

<ul>
<li>Les VTT électriques</li>
</ul>

Le VTT électrique possède des dérailleurs à l'avant et à l'arrière, ce qui permet de changer de braquet pendant votre trajet. Contrairement aux vélos classiques, les VTT électriques peuvent aisément gravir des pentes de 40 degrés d’inclinaison.

<ul>
<li>Les vélos cargos</li>
</ul>

Ils sont conçus pour transporter des charges très lourdes (supérieures ou égales à 130 kilogrammes), ceci en raison de la grande puissance de leurs moteurs. Généralement, vous les trouverez sous forme de triporteurs.

<ul>
<li>Le vélo à assistance électrique</li>
</ul>

Ce vélo à assistance électrique est sans doute le modèle le plus répandu sur le marché. Il est parfait pour effectuer de petites distances en villes. Néanmoins, son autonomie faible (20km max) ne permet pas de l'utiliser sur des trajets périurbains.

<ul>
<li>Les vélos électriques pliants</li>
</ul>

Si vous avez l’habitude d’emprunter le métro ou n’importe quel autre transport en commun, ce type de vélo conviendra parfaitement à vos besoins. Vous pouvez le démonter entre deux arrêts de métro et le déplier quand vous en sortirez.

A quoi faut-il faire attention quand on choisi son vélo électrique ?

Le première critère est le poids. Un vélo électrique pèse en moyenne entre 17 et 25 kg). Si vous recherchez une bicyclette moins lourde, optez pour les vélos pliants ou ceux urbains.

Si vous recherchez la puissance, vous ne pourrez cependant pas éliminer le facteur poids, vu que ces deux critères vont de pair (plus un vélo électrique est puissant, plus son poids est considérable). S’intéresser à la capacité de la batterie vous permettra également d’évaluer sa puissance et son autonomie.

Vous avez aussi la possibilité de choisir en fonction du mode d’assistance du vélo. Il en existe deux : l’assistance « tout ou rien » et celle dite proportionnelle. Les deux systèmes font recours à des capteurs de mouvement qui évaluent la fréquence de pédalage et apportent une solution d’aide adaptée au conducteur.

Comment bien choisir son lave-linge séchant ?

Votre lave-linge vient de rendre l'âme et vous n'avez pas de sèche-linge ? Pourquoi ne pas opter pour un lave-linge séchant ? A travers cette page nous allons vous expliquer comment choisir au mieux votre appareil.

Que faut-il regarder avant d’acheter son lave-linge séchant ?

La capacité de chargement

Ce facteur est l’un des plus importants car il détermine la quantité de linge que le lave-linge pourra stocker. Si vous vivez seul, vous pourrez opter pour un lave-linge d’une capacité d’environ 5 kg, pas la peine de vous encombrer avec une grosse machine. Dans le cadre d’une utilisation familiale, vous pourrez choisir une machine avec une plus grande capacité de stockage (environ 13 kg feront l’affaire).

La capacité de chargement d’un lave-linge séchant pendant le lavage est différente de sa capacité de chargement pendant le séchage. En effet, si la machine peut contenir 5 kg de linge pour le lavage, elle ne pourra généralement contenir que 2,5 kg pour le séchage.

Le type de chargement

Le type de chargement doit être déterminé en fonction de l’emplacement qu’occupera la machine dans votre habitation. Les lave-linges séchant disposent de deux types de chargement. Vous avez premièrement les machines dont les chargements s’effectuent s’effectue par le haut (top). Ces machines ont une capacité de chargement inférieur aux machines à chargement frontal. Vous avez ensuite les machines dont le chargement s’effectue de front par un hublot.

La vitesse d’essorage

Tout d’abord, sachez que la vitesse d’essorage détermine le temps de séchage du linge. Plus l’essorage est rapide et plus vite votre linge sèchera. La vitesse d’essorage des lave-linges séchant varie également en fonction du prix. Avec une vitesse de 800 tours par minutes (800 t/mn), il faudra 5 heures de temps pour sécher votre linge alors qu’à 1000 t/mn, le temps de séchage descend à 3 heures et ainsi de suite. La vitesse d’essorage des machines peut varier de 400 jusqu’à 2000 t/mn.

Certains modèles sont équipé d’un système "anti-balourd", qui améliore l’essorage et stabilise la machine tout au long de cette étape.

La consommation

La consommation est également un point à ne pas négliger dans la sélection des appareils électroménager. Selon l’étiquette énergie mise en place par la Communauté Européenne, Une machine classée A+ est une machine avec d’excellentes facultés d’économie d’énergie. Par exemple, les A+ vous permettent de réaliser 10% d’économie que les machines classées A. Les machines économiques sont un meilleur choix sur le long terme.

Les fonctionnalités et options qu’offre le lave-linge séchant

L’option arrêt cuve pleine : Cette option permet d’arrêter automatiquement la machine avant que ne commence la phase d’essorage.

L’option départ ou fin différé : Cette fonctionnalité vous permet de déterminer les heures de démarrage et d’arrêt de la machine. Elle permet de faire fonctionner le lave-linge séchant pendant votre absence ou pendant les heures creuses d’EDF.

L’option de capacité variable : Cette fonction permet aux lave-linges séchants d’adapter l’utilisation de l’eau  et la durée du lavage en fonction de la quantité de linge à nettoyer. L’option capacité variable permet non seulement de réduire la consommation d’eau, mais également de mieux conserver la qualité du linge.

Les programmes

Certaines machines disposent de plusieurs programmes. Ils sont établis en fonction de la nature du linge (synthétique, laine, coton) ou la durée du cycle de lavage (cycle court ou cycle long).

L'option vapeur

Cette fonctionnalité permet de gagner énormémen de temps pendant le repassage. Elle permet de "défriser" les vêtements et le linge en général.

Les prix

En fonction de la capacité de la machine, du nombre de programmes et des technologies embarquées, les prix peuvent varier de 400 à 2000€.

Quels sont les pièges à éviter ?

En réalité, les pièges à éviter sont assez peu nombreux.

Le point auquel vous devrez faire attention est la vitesse d'essorage. Plus elle est élevée et plus la consommation d'électricité sera importante.

De plus, deux machines avec une vitesse d'essorage égale peuvent obtenir des résultats différents sur la performance d'essorage.

L'idéal est de vous référer aux avis sur internet.

Comment bien bien choisir son robot aspirateur ?

Loin de se limiter à un gadget, le robot aspirateur, depuis peu, commence à investir les maisons du fait de sa grande utilité. Il s’agit d’un appareil ultra pratique et autonome qui rend la vie moins difficile à son utilisateur. Avec les robots aspirateurs, fini donc les corvées éprouvantes de tous les jours.

Aujourd’hui, de plus en plus de marques se lancent dans la production des robots aspirateurs. Cela conduit inévitablement à la diversité des modèles.

Découvrez comment choisir au mieux votre robot aspirateur.

Les différents types de robot aspirateur

On distingue deux types de robots aspirateurs :

Ceux qui fonctionnent de façon aléatoire ; c’est-à-dire ceux qui naviguent avec plus ou moins de précision. Ces aspirateurs sont généralement dépourvus de caméra et peuvent intervenir sur une superficie d’environ 60 m2 pour une autonomie de 3 heures en fonction du modèle. Pour un nettoyage rapide en un temps record, n'optez pas pour un robot qui navigue de façon aléatoire.

Ceux qui fonctionnent méthodiquement et de manière intelligente. Nous vous les recommandons même s'ils sont plus chers. Ils sont pourvus de caméra et de laser, ont la capacité d’avoir une configuration plus nette de la pièce. Ainsi, le nettoyage des sols se fait de manière plus complète et impeccable. Ces aspirateurs à navigation méthodique peuvent nettoyer une surface de 100 m2 en un temps record (1h) ou mettront un peu plus de temps si vous possédez un tapis ou une moquette. L’autonomie de ces appareils est d’environ 1h30 et ils peuvent reprendre le travail à l’endroit ils se sont arrêtés dès que les batteries sont rechargées.

Quel robot aspirateur correspond le mieux à mes besoins ?

Les robots aspirateurs sont désormais accessible à tous. Leur démocratisation a permis de faire baisser les prix de façon conséquente. Néanmoins, avant de procéder à votre achat, assurez-vous que le robot soit le plus adapté à vos besoins.

<ul>
<li style="text-align: justify;">Avez-vous des escaliers chez vous ?</li>
</ul>

Si tel est le cas, optez pour un robot avec une caméra ou un capteur d'espace vide. Le robot s'immobiliera alors au bord de l'escalier. Vous pouvez également acheter un "mur virtuel" dans le commerce pour pallier à l'absence de capteur.

<ul>
<li style="text-align: justify;">Avez-vous beaucoup de meubles ?</li>
</ul>

Si votre pièce comporte de nombreux meubles et surtout, en plein milieu de la pièce, choisissez un robot avec un « détecteurs d’obstacle ». Ainsi, face à vos meubles, le robot pourra dévier et ne pas entrer en collision avec les meubles.

<ul>
<li style="text-align: justify;">Intérieur avec dénivelés</li>
</ul>

Avant d’acheter votre aspirateur, prenez la mesure de votre dénivelé afin de choisir le modèle qui vous convient. Certains aspirateurs peuvent franchir des obstacles jusqu'à 1,5 cm de hauteur. Mais pour un tapis de 2 cm par exemple, il y a de fortes chances que l’aspirateur reste coincé.

<ul>
<li style="text-align: justify;">Avez-vous des allergies particulières ?</li>
</ul>

Un aspirateur avec filtre HEPA sera d’une grande utilité pour les personnes allergiques à la poussière. En effet, le filtre HEPA absorbe la poussière jusqu’à 0,3 microns, ce qui permet d'assainir la maison tout en écartant les allergènes avec une puissance d’aspiration et un débit d’air acceptables. Vous pouvez aussi vous laisser tenter par un robot avec un "variateur de puissance"

<ul>
<li style="text-align: justify;">Quel bruit fait le robot-aspirateur ?</li>
</ul>

Comme pour les aspirateurs classiques, le robot aspirateur n'échappe pas à l'émission de bruit. Le nombre de décibels émis est moins important mais optez pour le robot le moins bruyant possible. Attention toutefois à avoir un aspirateur avec une puissance d'aspiration suffisante !

Une astuce est aussi d'acheter un robot aspirateur programmable et autonome. Vous pourrez le mettre en marche pendant votre absence et ne pas être ennuyé par le bruit d'aspiration.

Enfin, pensez à acheter un aspirateur avec une brosse spéciale pour le parquet ou une brosse motorisée si vous le passez sur une surface planne ou un sol particulièrement dur.

Comment entretenir le robot aspirateur ?

Pour optimiser la durée de vie de votre robot-aspirateur, pensez à vider de façon régulière son bac à poussière. L'idéal est d'avoir un bac qui peut contenu jusqu'à 2L de poussière et un collecteur de poussière.

Pensez aussi à nettoyer de façon régulière les brosses. Des détritus peuvent y restés coincés, ce qui limitera l'efficacité du robot par la suite.

Enfin, pour des raisons pratiques et économiques, optez pour un robot aspirateur avec des filtres lavables. Vous pourrez les passer dans votre machine à laver après chaque usage.

Comment bien choisir son cuit vapeur électrique ?

Quoi de mieux pour la santé que de consommer des aliments sains, sans graisse ou sel ajoutés ? Le cuit-vapeur est l'accessoire indispensable pour préserver les qualités nutritionnelles (sels minéraux, vitamines…) dont votre organisme a besoin. A travers cette page, nous allons vous aider à choisir le meilleur cuit-vapeur possible.

Que faut-il regarder avant d’acheter un cuit-vapeur ?

Pour votre confort et votre sécurité, la première chose à regarder est l'arrêt automatique. Un bon cuit-vapeur doit pouvoir s’arrêter automatiquement une fois la cuisson terminée ou si il manque de l’eau.

Dans le même genre, optez pour un cuit vapeur où il est possible de voir le niveau d'eau et à minima le compléter pendant le niveau de cuisson.

Un autre point très important à privilégier est la puissance. Pour obtenir une cuisson vapeur rapide, il choisissez un appareil de 1800 watts au minimum.

Pour un maintien au chaud de votre repas, vous opter pour un cuit vapeur inox, avec couvercle en verre et passoire. Il sera à la fois pratique et esthétique dans votre cuisine.

Enfin, le cuit-vapeur traditionnel peut être très encombrant. Heureusement qu’il existe sur le commerce des appareils compacts dont les paniers peuvent être rangés les uns dans les autres. Cela vous permettra, non seulement, de gagner en espace mais aussi de pouvoir préparer librement.
<body id="cke_pastebin" style="position: absolute; top: 10px; width: 1px; height: 180px; overflow: hidden; margin: 0px; padding: 0px; left: -1000px;">
Pour un maintien au chaud de votre repas, vous opter pour un cuit vapeur inox, avec couvercle en verre et passoire, dont l’aspect apportera une certaine esthétique à votre cuisine.

</body>

Acheter un cuit-vapeur selon les besoins

Comme pour n'importe quel accessoire ou appareil électroménager, le cuit-vapeur n'échappe pas à la règle de "l'achat selon le besoin". Voici ci-dessous quelques points à considérer :

<ul>
<li style="text-align: justify;">La capacité : Pour un ménage de 4 personnes, un cuit-vapeur d’une contenance de 6 litres peut très bien servir.</li>
<li style="text-align: justify;">Le budget : De façon générale, un cuit-vapeur coûte entre 16,99 € et 250 €. Si vous recherchez un appareil avec des fonctionnalités basiques telles que la minuterie ou arrêt automatique, il va falloir compter environ 40 euros pour l’acquérir. Un cuit-vapeur compact avec programmeur peut vous coûter 70 euros. Le prix de votre cuit-vapeur sera d'autant plus important si il dispose du départ différé.</li>
</ul>

Comment bien choisir son snowboard ?

Vous adorez dévaler les montagnes et faire des figures dans les airs ? Le snowboard est fait pour vous ! Pourquoi louer une planche de snowboard quand un achat est presque aussi rentable ? A travers cette page nous allons vous expliquer comment choisir au mieux votre snowboard !

Faites votre choix en fonction de votre utilisation

Le conseil peut sembler évident mais choisissez votre planche de snow en fonction de ce que vous comptez en faire. Il existe trois types de snowboard : le snowboard freestyle, le snowboard polyvalent et le freeride.

De plus, chaque snowboard est adapté à un type de terrain. Il s’agira donc de choisir en fonction de votre terrain d’entrainement, la planche de snowboard la mieux adaptée.

Notons cependant que le snowboard polyvalent offre l’avantage d’être utilisable sur tout type de piste. Il correspond aussi bien aux besoins d’un rider professionnel qu’à ceux des débutants. Offrant une certaine souplesse et généralement de taille moyenne, il est pratique pour la réalisation de différents mouvements.

Pour ceux qui aiment les sensations fortes et la vitesse, le snowboard freeride sera plus utile. Comparé au snowboard polyvalent, il est plus long et plus raide. Sa grande longueur facilite la réalisation de belles figures sur la neige et la stabilité du surfeur qui avance à grande vitesse. Sa rigidité est un atout qui rend toutefois la man&oelig;uvre de cette planche plus délicate. Il est donc préférable de ne s’en doter qu’à la seule condition que vous soyez déjà à l'aise sur la poudreuse !

Enfin, le snowboard freestyle ne s’utilise que dans les snow park ou pour la réalisation de sauts. En comparaison avec les deux autres modèles, il est plus petit et beaucoup plus souple. En raison de sa grande maniabilité, il peut être utilise pour l'apprentissage du snowboard.

Choisissez votre planche en fonction de sa forme

Il existe une multitude de formes de snowboard. Les principales shapes (formes) sont la twin-type et la directionnelle.

La première est en pratique associée au snowboard freestyle, mais on peut aussi le retrouver sur les snowboards polyvalents. Elle permet au rider de dévaler la piste en prenant une position inverse à la normale sans aucune difficulté.

Pour ce qui est de la seconde, elle est idéale pour prendre des courbes pendant son trajet / sa descente.

Quels sont les pièges à éviter ?

La taille du snowboard :

Comme pour la pointure d'une chaussure, il est important de choisir un snowboard en fonction de votre taille et à votre poids.

La taille de votre planche variera qu'il s'agisse d'un snowboard polyvalent (20cm de moins que votre taille), freestyle (30cm de moins) ou freeride (de votre taille).

Les dernières nouveautés en matière de snowboard

Depuis quelques années, les snowboards connaissent de grandes avancées technologiques. A ce titre, nous pouvons évoquer le cambre inversé, le double cambre inversé et le magne-traction.

La cambre inversée est pratique pour la poudreuse et dans le Snow Park. Par contre le double cambre inversé vous offre une plus grande polyvalence d’utilisation de votre planche à neige. Il vous permet de passer très aisément des terrains d’entrainement vers les pistes disposant de pentes vierges. Précisons toutefois qu’ils sont réservés pour les professionnels. Le magne-traction, quant à lui, vous offre des carres avec une grande capacité d’adhésion sur la glace et les neiges dures. Ce style a d’ailleurs été adopté par plusieurs marques.

D’autres matériaux comme le bambou, le basalte sont aussi intégrés dans la fabrication des snowboards et plus particulièrement ceux de prestige.

Le tarif

En fonction de la gamme du snowboard, le coût peut varier sur le marché. Le prix dépend en partie des matériaux entrant dans la construction de la planche, mais aussi ces différentes caractéristiques.

Le snowboard pour les débutants varie généralement entre 200 et 300 euros, alors que celui haut de gamme peut varier de 400 à 1000 euros. Si vous recherchez des planches de gamme moyenne, vous devriez être prêts à débourser entre 250 et 400 euros.

Comment bien choisir son four ?

Vous adorez cuisiner et vous avez décidé de vous équiper d'un nouveau four ? Vous n'avez que l'embarras du choix et c'est là tout le problème ! Comment choisir le meilleur four ? Découvrez à travers cette page les critères à prendre en compte avant d'acheter votre four.

Four à gaz ou four électrique ?

On distingue deux grandes catégories de fours : les fours qui fonctionnent au gaz et les fours qui fonctionnent à l’énergie électrique.

La première catégorie demande un peu moins d’investissement que la seconde mais dans l’utilisation, les fours électriques sont bien plus pratiques.

De nos jours, les fours électriques sont beaucoup plus utilisés dans les foyers mais si votre installation fonctionne au gaz n’hésitez pas à opter pour un four à gaz.

Les différents types de four :

Selon le mode de cuisson voulu, on distingue plusieurs types de four :

<ul>
<li>Les fours traditionnels : également appelés fours à convection naturelle, leur fonctionnement est basé sur deux résistances, l’une située en bas et l’autre en haut, leur permettant de chauffer. Les fours traditionnels sont très simples d’utilisation et possèdent une forte puissance de chauffe. Ils sont dotés d’une molette qui permet de varier le mode de cuisson. Cependant ils ont pour défaut de nécessiter une longue durée de préchauffage et l’incapacité de préparer plusieurs plats à la fois sans mélanger les odeurs.</li>
<li>Les fours à vapeur : Ils permettent de cuire les aliments grâce à la chaleur générée par la vapeur. Ce système de cuisson permet de conserver massivement la valeur nutritive des aliments au cours de la préparation. Ils conviennent surtout aux personnes pratiquant la cuisine diététique. Pour fonctionner, ils sont raccordés au système d’eau de la cuisine ou disposent d’un réservoir d’eau qu’il faut remplir avant chaque utilisation et vider à la fin de la cuisson. Il faut aussi veiller à les essuyer après chaque utilisation. Cependant, les fours à vapeur demandent un temps de cuisson plus long (température maximale de 100°C) que les autres types de four et ils ne conviennent pas pour griller et gratiner les petits plats. Ils sont disponibles en 3 différents modèles : le four à basse pression, le four à forte pression et le four combiné.</li>
<li>Les fours à chaleur tournante : ils sont constitués d’un petit ventilateur placé dans la paroi du fond. Ce ventilateur diffuse la chaleur partout à l’intérieur du four. Le principal avantage de ce type de four est de permettre de cuire plusieurs plats en même temps. Ils se déclinent deux modèles : le four à chaleur brassée ayant une structure proche du four traditionnel et le four à chaleur pulsée qui offre une cuisson plus rapide des aliments. Les fours à chaleur tournante demandent un temps de préchauffe moins long que celui des fours traditionnels. Cependant ils ont pour principal défaut d’être bruyants à cause de leur ventilateur.</li>
<li>Les fours multifonctions : si vous avez l’embarra de choix entre four traditionnel et four à chaleur tournante, pourquoi ne pas vous orienter vers un modèle qui combine les 2 ? Les fours multifonctions ont l’avantage de proposer plusieurs modes de cuisson à la fois. C’est pour cela on les appelle également fours multicuisson. Ils peuvent offrir jusqu’à 12 différents modes de cuisson. Plus on entre dans le haut de gamme, plus le nombre de fonctions augmente (fonction pour décongeler les aliments, fonction vapeur, fonction micro-ondes, fonction étuve, cuisson à basse et haute température, fonction programmateur permettant de choisir le mode de cuisson le mieux adapté à chaque plat, etc). Ils permettent de cuire les aliments à bonne température et de manière homogène.</li>
<li>Les fours micro-ondes : ces fours de petite taille permettent de réchauffer, décongeler et aussi cuire les aliments. Ils sont pratiques, rapides et s’adaptent parfaitement au mode de vie d’aujourd’hui. Ils sont dotés d’un système de programmation avec minuteur et une touche permettant de régler la puissance de cuisson des aliments. Néanmoins, leur petite taille les rend moins puissants que les autres types de fours de grande capacité. Ils existent en 3 différents modèles : le four micro-ondes classique, le four micro-ondes avec grill et le four micro-ondes combiné.</li>
<li>Les mini-fours : ils fonctionnement globalement de la même manière que les fours de taille classique. Mais ils sont de plus petite taille et donc moins encombrants. Ils ne proposent pas les mêmes niveaux de cuisson que les fours classiques mais sont souvent associés à de nombreux accessoires permettant d’améliorer leur fonctionnalité : tournebroche, plaque à pizza, lèche-frite, etc… Les mini-fours conviennent pour les petits espaces et les personnes qui cuisinent peu. En outre, ils sont accessibles à bon prix.</li>
</ul>

Les différents modes de nettoyage des fours

On distingue 3 principaux modes de nettoyage des fours et ceux-ci varient en fonction de chaque type de four :

<ul>
<li>L’auto-nettoyage par pyrolyse : Ce système de nettoyage très pratique et efficace permet de carboniser et de réduire en cendre tous les résidus de nourritures, les graisses et les saletés accumulés sur les parois du four à des températures extrêmes de 470° à 500°C. Ceci dure environ 1h30 et vous n’avez ensuite qu’à passer, après refroidissement, un simple coup de chiffon humide. Cette technique de nettoyage fonctionne mieux que les autres mais consomme plus d’énergie et les fours qui en sont dotés coûtent un peu plus chers.</li>
<li>L’auto-nettoyage par catalyse : Cette technique de nettoyage se déclenche automatiquement au cours de la cuisson dès que la température atteint 200 à 220°C. Ainsi les parois du four sont émaillées de corps microporeux qui absorbent et éliminent par oxydation toutes les graisses pendant la cuisson. Ces parois peuvent être démontées et remplacées en cas de nécessité.</li>
<li>Le nettoyage manuel : Certains fours sont caractérisés par des parois recouvertes d’un émail lisse ou ultra-lisse et doivent être régulièrement nettoyés à la main. Il faudra se servir d’une éponge humide et d'un détergent spécifique.  </li>
</ul>

Que faut-il vérifier avant l’achat d’un four ?

<ul>
<li>Si vous optez pour un four électrique, n’oubliez surtout pas de vérifier sa classe énergie. Un four ayant la lettre A sur son étiquette énergie coûtera certainement un peu plus cher que celui portant la lettre B, mais il aura l’avantage de consommer moins d’électricité et sera plus rentable à long terme.</li>
<li>Choisissez de préférence un four ayant un grand hublot et éclairage intérieur pour suivre la cuisson de vos aliments.</li>
<li>Pour une meilleure sécurité et surtout si vous avez des enfants, privilégiez un four avec système porte froide.</li>
<li>Assurez-vous de la présence d’un système de refroidissement dans votre four si vous voulez l’encastrer sous un plan de travail.</li>
<li>Optez de préférence pour un four avec programmateur électrique car il permet de choisir pour chaque type d’aliment une température et un mode et une durée de cuisson adaptés pour un résultat parfait.  </li>
</ul>

Comment bien choisir son lave-vaisselle ?

Acheter un lave-vaisselle a une répercussion directe sur vos finances, c'est la raison pour laquelle il est important de le choisir avec soin.

Non seulement, le lave-vaisselle peut vous faire gagner du temps mais il peut vous permettre de réaliser des économies d'eau et d'électricité.

A travers cette page, nous allons vous aider à déterminer quels sont les critères les plus importants pour choisir un lave-vaisselle.

Quels sont les différents types de lave-vaisselle ?

Avant toute chose, sachez qu'il existe plusieurs types de laves vaisselles.

Ceux qui veulent un lave-vaisselle peu encombrant pourront choisir la gamme compacte. Les laves vaisselles-compacts sont en effet les plus petits laves vaisselles qui existent. Ils permettent de nettoyer de 4 à 6 couverts (fourchettes, couteaux, verres et assiettes) et ne mesurent que 45cm de largeur, ils sont idéaux pour les gains de place.

Si vous disposez d’une cuisine équipée, optez pour un lave-vaisselle encastrable. Vous pourrez le dissimuler derrière une porte de placard pour qu'il ne se voit pas. Ce type de lave-vaisselle mesure entre 45 et 60 cm. Le choix est vaste et vous n'aurez qu'à choisir la taille du lave-vaisselle en fonction de la place disponible dans votre cuisine.

Avec une forte ressemblance au lave-vaisselle encastrable, le lave-vaisselle intégrable est le plus discret de tous.

Enfin, le lave-vaisselle à pose libre peut être mis n'importe où dans votre cuisine, mais ne se fondra pas dans le décor. La taille standard de ce lave-vaisselle est de 60cm. Ils permettent de laver la vaisselle jusqu'à 12 couverts simultanés.

Que faut-il regarder avant d’acheter un lave-vaisselle ?

Pour que vous soyez sur (e) d’avoir fait le meilleur choix, vous devez prendre en compte plusieurs critères.

<ul>
<li>La classe énergétique : Vérifier l’efficacité énergétique d’un lave-vaisselle avant de l’acquérir est le reflexe premier que doit avoir tout acheteur. Si le lave-vaisselle est de classe D fuyez ! Par rapport à la classe A ; les laves vaisselles de la classe A+ peuvent vous faire économiser jusqu’à 10% d'électricité. Les A++ peuvent réduire le montant de votre facture à 20%, les A+++ jusqu’à 30%. Les chiffres ont été calculés sur une base de 280 cycles standard de lavage à 60 degré Celsius.</li>
<li>Le nombre de couverts : Le nombre de couverts dont dispose le lave-vaisselle peut aussi influencer votre choix. Par exemple, si vous êtes une famille vous devriez opter pour un lave-vaisselle à grand nombre de couverts alors qu’une personne seule pourra opter pour un lave-vaisselle compact.</li>
<li>Panier à couverts ou tiroir à couverts : Il est plus courant que les lave-vaisselles soient dotés de paniers à couverts. L'idéal est de choisir un tiroir à couvert. Celui-ci vous offre en effet un gain de place considérable qui peut vous être utile pour ranger vos marmites et casseroles.</li>
<li>Les dimensions du lave-vaisselle : Ce critère dépend uniquement de l'espace dont vous disposez dans votre cuisine. Si vous avez une grande cuisine, laissez-vous tenter par un lave-vaisselle aux dimensions standards.</li>
<li>Le niveau sonore : Les lave-vaisselles ont un niveau sonore allant généralement de 40 à 53 dB. Notez qu’un lave-vaisselle à 40dB fait 20 fois moins de bruit qu’un lave-vaisselle à 53dB !</li>
<li>La programmation automatique : Si vous souhaitez profiter des heures creuses d’EDF c'est l'idéal ! Vous aurez aussi la possibilité d’adapter la consommation de l’eau et la durée de lavage au degré de salissure de votre machine.</li>
<li>L’efficacité du lavage et du séchage : Un lavage efficace dépend en grande partie de la qualité du lave-vaisselle. Pour le séchage optez pour un appareil avec un condenseur à eau ou à air.</li>
<li>La modularité des paniers : C’est un critère essentiel pour l’achat de votre lave-vaisselle. Vous aurez le choix entre des lave-vaisselle à picots rabattables ou des lave-vaisselles à panier supérieur réglable. Avec cette fonction vous pouvez par exemple adapter la position du panier à la taille de vos verres.</li>
<li>La sécurité : Vous n’aimez pas les mauvaises surprises ? Assurez-vous que votre lave-vaisselle dispose bien d’un système de sécurité anti-fuite. Il s'agit d'un système anti-débordement qui active la vidange lorsque l’eau s’accumule dans votre appareil. La machine doit disposer également d’une sécurité enfant. Celle-ci verrouille automatiquement les portes de votre machine. Cela vous évitera d'avoir de l'eau partout ou que votre enfant se brûle (l'eau peut atteindre 75°C !).</li>
</ul>

Quelques conseils sur l’utilisation du lave-vaisselle

Acheter un lave-vaisselle c'est bien, l'utiliser correctement c'est encore mieux ! Avant de raccorder le cordon d'alimentation à votre prise électrique, lisez ces quelques conseils :

<ul>
<li>Prenez soin de ranger comme il se doit les assiettes dans le lave-vaisselle pour éviter qu'elles ne s'entrechoquent ou abîment votre appareil</li>
<li>Choisissez un lavage intensif pour les vaisselles très sale, les casseroles et poêles.</li>
<li>Optez pour la fonction "lavage fragile" pour vos verres à pieds.</li>
<li>Si votre vaisselle n'est pas trop sale, choisissez le cycle rapide.</li>
<li>Entrouvrez votre machine dès que le cycle de lavage est terminé.</li>
<li>Si votre appareil en est équipé, optez pour l'option trempage. Il s'agit d'un prélavage à l’eau simple, elle permettra de décoller partiellement les salissures de vos assiettes ou de vos casseroles.</li>
<li>Faites tourner le lave-vaisselle en choisissant un programme intensif une ou deux fois dans l’année.</li>
<li>Nettoyer régulièrement les bras d’aspersion avec de l’eau claire</li>
<li>Si la dureté de l'eau est importante, pensez à mettre du sel régénérant et à régler l'adoucisseur d'eau pour éviter les dépôts de calcaire.</li>
<li>Ne mettez jamais d'objets recouverts de vernis, en argile, en argent massif, bronze, cuivre, étain ou laiton dans votre lave-vaisselle.</li>
</ul>

Comment bien choisir son VTT ?

Vous souhaitez acheter un VTT mais vous êtes perdu parmi les centaines de modèles différents ?

Nous allons à travers cet article vous présenter les principaux paramètres à prendre en compte.

Quels sont les critères de choix pour un VTT ?

La pratique du VTT

Le première critère à prendre en compte est bien entendu le type de pratique : balades, sportive, cross country, … Mais aussi la fréquence de vos sorties. Vos besoins ne seront pas les mêmes que vous soyez débutant ou professionnel. Ils seront aussi différents en fonction de la pratique.

Voici les principales pratiques à faire en VTT :

<ul>
<li>Cross country</li>
<li>Freeride</li>
<li>Cyclocross</li>
<li>Descente</li>
<li>Dirt</li>
<li>Enduro</li>
<li>Trekking</li>
</ul>

De façon générale, les VTTistes font du trekking et du cross country (sorties en forêt et sentiers).

Le type de cadre

Lorsque vous aurez défini le type d'utilisation que vous ferez de votre vélo, le type de cadre à choisir devrait être "logique". Votre posture ne sera pas la même que vous fassiez de la descente, du freeride ou bien du trekking. C'est là qu'intervient le cadre, il sera intimement lié à votre performance.

Vous aurez le choix entre trois types de cadres : rigides, semi-rigides et suspendus. De façon générale, le cadre rigide est recommandé sur les chemins et sentiers. Le tout suspendu est plus une histoire de confort, il peut être pratique pour les routes chemins caillouteux et de montagne. Attention toutefois, un vélo tout suspendu est généralement plus cher qu'un vélo avec un cadre rigide. Vous pouvez opter pour un semi-rigide avec des suspensions à l'avant et à l'arrière.

La taille du VTT

Une fois votre pratique définie et le type de cadre voulu, il faut bien entendu choisir la taille du VTT. Vous aurez le choix entre VTT Homme, Femme ou Junior.

La taille des vélos tout terrain n’est pas standard. Chaque constructeur établit son barème, et il est difficile de faire un choix.

Heureusement, les fabricants affichent la correspondance entre la taille du vélo (S, XS, M, XL, L) et la taille de l’utilisateur (en cm). Notre conseil est donc de demander au vendeur ces différents détails.

La largeur des roues

Sur un VTT, la largeur des roues a une importance capitale, notamment pour l’accroche. Communément, cette largeur, en moyenne, est 2.0. Et on indique les caractéristiques de la roue d’un VTT de la manière suivante : 26*2.0.

L’esthétique

L'esthétique vient en dernier et sera très certainement le critère qui vous permettra de choisir entre deux vélos. Prenez avant tout un vélo qui correspondra à vos attentes, le design du vélo est secondaire.

Lors de votre sélection, vous pourrez par exemple prendre en compte le recul de la selle, son ajustement et la présence d'un porte-bidon.

Quels pièges éviter lors de l’achat d’un VTT ?

L'achat d'un VTT, même neuf, n'évite pas toujours les mauvaises surprises. Vous devez prêter attention aux équipements du VTT et aux matériaux utilisés pour sa fabrication. Les performances de votre vélo en dépendent et parfois votre sécurité. Pensez à vérifier le type de freins et la transmission :

Quel matériau pour le cadre de votre VTT

En général, trois matériaux sont utilisés pour le cadre des VTT. Chaque matériau a ses qualités propres, et les prix sont variables :

<ul>
<li>L'acier : le moins cher, le cadre en acier est classique et léger ;</li>
<li>Le carbone : très solide, ultra léger et résistant. Évidemment il est plus cher mais c'est une Rolls-Royce comparé à un cadre en acier).</li>
<li>L'aluminium : son utilisation est encore trop récente pour que nous nous prononcions. Nous n'avons pas encore de visibilité sur la corrosion et la résistance en cas d'utilisaiton intensive.</li>
</ul>

Quels freins équipent le vélo ?

Le choix sera fait entre deux types de freins :

<ul>
<li>Le frein à disque : ils sont plus puissants, et donc plus efficaces en freinage pur. Leur efficacité touche aussi la précision, car ils apportent une progressivité, et dosent ainsi le freinage.</li>
<li>Les V-brake : il s’agit des freins à patin qui équipent le plus souvent, les VTT à patin. C’est la solution la moins chère du marché mais la moins efficace.</li>
</ul>

Quelles sont les nouveautés en matière de VTT ?

Maintenant que vous savez quel VTT choisir et quels sont les pièges auxquels il faut faire attention, passons aux nouveautés pour les VTT :

Les VTT 29 pouces

Les VTT 29 pouces ou les 29ers, connaissent un succès indéniable auprès des consommateurs. Conscientes de l'engouement qu'ils suscitent, toutes les grandes marques sortent leur 29ers. L'avantage du 29er est simple : ils sont plus grands donc plus stables et confortables. Leur rendement est aussi meilleur dans les montées.

Le Tubeless

Le tubeless se démocratise. Il s'agit de pneus sans chambre à air, ce qui limite les risques de crevaison. Si vous roulez en pleine forêt, privilégiez le tubeless, les épines des sapins se bloqueront dans les pneus et boucheront d'elles-mêmes les crevaisons qu'elles auraient pu occasionner.

Système anti-pompage et blocage de fourche

Le pompage c'est la perte de puissance de pédalage. Celle-ci est généralement causée par la présence de suspensions. Pour y remédier, certains constructeurs ont élaboré des systèmes anti-pompage. Lorsque vous pédalez, le vélo n’arrive pas à amortir les chocs. Les systèmes anti-pompage sont automatiques ou manuels, avec des blocages de fourche au guidon. Les vélos qui ont ce genre de système, possèdent généralement un dérailleur différent (Shimano se démarque encore une fois sur ce point).